(339 mots) Sergey Yesenin, par nature, était un homme romantique et amoureux, comme le dit sa biographie. Non seulement il aimait, mais il était aimé. Chacun de ses poèmes, dédié à la dame de cœur, est comme une idée originale dans laquelle il a cherché à jeter tout ce qui le submerge, ses sentiments et ses émotions, pour autant que le poète ait su le faire. Ses versets reflètent toute l'expérience amère de la relation entre un homme et une femme. Il y a des moments chauds et lumineux qui restent un souvenir agréable pendant des années. Voici toute l'amertume des querelles, entrelacée avec la passion vivifiante qui vivait à Yesenin.
L'auteur a souvent écrit qu'il était prêt à tout abandonner pour être avec une femme bien-aimée toute sa vie. Par exemple, dans le célèbre poème «Un feu bleu a remarqué», il mentionne qu'il peut même se rétracter des poèmes. Celui qui pourra l'apprivoiser et découvrir tout le pouvoir de l'amour d'une personne créative, il se consacrera complètement. Donc, dans ses paroles reflétait la première fois de l'amour.
Mais le temps passe et le héros lyrique commence à craindre et à douter de sa bien-aimée. Il sait comment ils peuvent attirer leur beauté, combien ces créatures sont insidieuses, mais il tombe à nouveau dans ce piège. L'amour d'une femme, dans la théorie de Sergei Yesenin, est une force stupéfiante qui attire une personne avec son désir, prenant progressivement possession de lui comme une maladie, le laissant souffrir, aspirant tout sans laisser de trace. Par exemple, le poème «Chantez, chantez. On the damned guitar »raconte que le sentiment d'attraction entre une femme et un homme est un« fléau »et un« fléau »qui rend fou. L'image d'une dame inspire la peur: dans cette "jeune et belle poubelle" il a trouvé la mort.
Mais il y a une autre facette de son travail - la séparation. Bien que le poète soit célèbre pour ses mauvais traitements envers les femmes, il se décrit souvent dans les paroles comme une victime de leur tromperie ou de leur indifférence. «Lettre à la femme» - un message à Zinaida Reich, qui, fatiguée des coups et des scènes de jalousie, a quitté Yesenin. Mais dans le poème, elle ressemble à une dame indifférente et injuste qui n'a pas besoin d'un poète passionné, car elle, selon lui, ne l'a pas compris et ne l'aimait pas.
L'attitude de Yesenin envers une femme est une contradiction complète dans laquelle il se dispute avec lui-même, succombant à la tentation à chaque fois et se repentant encore et encore. Il aimait passionnément et passionnément, éprouvait une séparation aiguë et douloureuse, et chaque émotion se reflétait dans ses paroles.