Le conteur est célèbre pour son sens de l'humour. L'ingéniosité naturelle se combine avec succès avec la forme physique, les blagues sont généralement inoffensives dans la nature et il devient un favori universel.
Une fois que le héros reçoit une offre d'envoyer quelque chose pour le département de l'humour dans le célèbre hebdomadaire. Son matériel est accepté, et bientôt il dirige déjà sa chronique humoristique.
Un contrat annuel est conclu avec lui, dépassant plusieurs fois son précédent salaire dans une entreprise de quincaillerie, et il devient comédien professionnel. Au début, tout se passe bien, mais six mois plus tard, le héros commence à sentir que son humour perd son ancienne immédiateté. Les blagues et les pincements ne volent pas de la langue par eux-mêmes, il y a un manque de matériel. Le héros n'amuse pas ses connaissances, comme auparavant, mais il surprend leurs conversations et écrit des expressions réussies sur les poignets, afin qu'il puisse plus tard être envoyé au magazine. Il ne perd pas ses blagues, mais il les enregistre à des fins professionnelles. Peu à peu, des connaissances commencent à éviter de communiquer avec lui. Il transfère ensuite son activité à la maison: il extrait des grains d’humour des propos de sa femme, écoute les conversations de ses jeunes enfants et les imprime sous la rubrique «Ce à quoi les enfants ne peuvent pas penser». En conséquence, le fils et la fille commencent à fuir le père comme une peste. Mais son entreprise se porte bien: le compte bancaire est en pleine croissance, bien que la nécessité d'une clé professionnelle soit un lourd fardeau. Par accident, se rendant au salon funéraire de Geffelbauer, le héros est agréablement frappé par l'atmosphère sombre et le manque total de sens de l'humour chez le propriétaire. Maintenant, il est un invité fréquent de Geffelbauer, et un jour il lui propose un partenariat. Le héros accepte volontiers l'offre et s'envole chez lui comme s'il était sur les ailes pour partager sa chance. Il scanne le courrier, et parmi les enveloppes contenant des manuscrits rejetés, il tombe sur une lettre du rédacteur en chef de l'hebdomadaire l'informant que le contrat n'est pas renouvelé en raison d'une baisse de la qualité des documents pour la section humoristique. Cela semble être une triste nouvelle qui ravit le héros. Après avoir informé sa femme et ses enfants qu'il est désormais copropriétaire du salon funéraire, le héros propose de célébrer le grand événement avec une visite au théâtre et un déjeuner dans un restaurant.
Une nouvelle vie de la manière la plus bénéfique affecte la santé du héros. Il gagne à nouveau la réputation d'un excellent crétin et esprit. Les affaires du salon funéraire se déroulent bien, et le partenaire assure au héros qu'avec sa bonne humeur, il est capable de "transformer n'importe quel enterrement en un enterrement irlandais".